La famille parisienne des véhicules écologiques pourrait bien s’agrandir ! Après les fameux Vélib’, vélos en libre-service et l’Autolib’, service public d’autopartage de voitures électriques, Scootlib’ devrait prochainement grossir les rangs des alternatives pour se déplacer dans la capitale. Zoom sur Scootlib’, les scooters en libre-service parisiens.
Scootlib’ : des scooters en libre-service
La volonté affichée par la ville de Paris : faire que dans quelques années, les habitants de la capitale abandonnent l’ensemble de leur moyen de transport individuel pour circuler uniquement avec des véhicules estampillés par la ville : après Vélib’, et Autolib’, voici Scootlib’.
Et pour cela, quoi de mieux que de proposer à la location les 3 véhicules les plus plébiscités sur les routes : vélos, autos et scooters !
700 stations et de 3000 à 5000 scootlib’
Le libre-service de scooters électriques existe déjà dans 2 villes : San Francisco et Barcelone.
Dans la ville californienne, une cinquantaine de Scoot arpentent les rues depuis septembre 2012 et 250 motit sont garés dans 7 quartiers de la capitale catalane depuis mai 2013.
Mais le projet parisien est encore plus ambitieux : Anne Hidalgo, maire de Paris, souhaite installer de 3000 à 5000 scooters, répartis dans 700 stations de la ville.
La clientèle visée par Scootlib’ : les jeunes et les jeunes actifs
Le public visé par l’initiative Scootlib’ est essentiellement les jeunes et les jeunes actifs, de 14-16 ans à 35-40 ans. Ceux qui possèdent un deux-roues motorisé ou se déplacent en Vélib’ ou métro.
Et l’envie est croissante : la volonté de se déplacer en deux-roues motorisées va crescendo. Il faut noter que 150 000 deux-roues circulent chaque jour dans Paris, alors qu’il n’y a que 80 000 places pour les accueillir.
Scootlib’ pourrait donc être une bonne solution pour répondre à cette problématique. D’autant que la question est brûlante d’actualité : la fin de la tolérance du stationnement sur les trottoirs a été votée par le Conseil de Paris le 17 décembre 2013.
Scootlib’ : à quel prix ?
Les scooters devraient être proposés à la location pour un tarif oscillant entre 3 et 10 euros de l’heure, en plus d’un abonnement mensuel. Ils seraient équipés de casques réglables et régulièrement désinfectés. Il sera possible, via Internet et smartphone de s’abonner mais également de réserver un véhicule disponible ou de repérer les bornes vides ou occupées.
Sorry, I can not write French. I think Mayor Ms. Hidalgo is ambitious. But she should promote E-Bike instead of E-motorbike, not only to keep the pedaling fun as biking per sake but also is healthier (only having some electronic-power assisted on the side)! E-bike needs shorter re-charging time and longer endurance(up to 100 Km per charge, up to 25-30K per hour which is not bad at all), no helmet needed (under the current Vélib user doesn’t ask to wear a helmet, right?)And if unfortunately out of battery, you can still « bike » with pedal. I am consulting my government in Taiwan in similar program. We think e-bike is better than e-motorbike.
attention en doublant les voitures ! à gauche c’est mieux !
le code de la route c’est bien de le maîtriser !
c’est du grand n’importe quoi – à Rouen par exemple, les vélolibs sont supprimés parce que pas rentables – combien cela va-t-il coûter à la ville de Paris ???
pourquoi pas faire les transports en commun gratuit 7/7 & pas uniquement sur Paris évidemment
pourquoi pas faire les transports en commun gratuit 7/7 365 ou 366 par an tout simplement
Un scooter est un « véhicule écologique » ? C’est nouveau ou alors c’est du green bashing.