En tête de gondole dans les supermarchés ou depuis quelque temps en ligne, les cahiers de vacances fleurissent au début de l’été. Il s’en est vendu plus de 4,5 millions d’exemplaires l’année dernière. Marché florissant à qui l’on reproche aussi le caractère marketing discutable de ces cahiers pédagogiques.
Cahiers de vacances, entre plaisir et corvée
Pour certains parents, les vacances doivent rester un moment privilégié de repos alors que d’autres, c’est le moment idéal pour progresser de façon ludique. Ils peuvent être l’occasion d’apprendre en famille autrement et ainsi de consolider les acquis dans la bonne humeur.
La période des vacances devrait être un moment de rupture avec le cadre scolaire afin de permettre aux l’enfant de souffler un peu. L’apprentissage ou les révisions estivales sont souvent synonymes de pression et de conflits avec les parents déjà existants durant l’année scolaire.
Et vous ? quels souvenir avez-vous des cahiers de vacances ?
inutiles, simplement du marketing de vacances !
Les cahiers de vacances ne sont pas là, à mon avis, pour faire réviser intensément les enfants. C’est un moment au calme, au frais et loin des écrans que l’on partage avec l’enfant. Pour moi, leur intérêt se trouve là
si l’enfant a envie (moi j’adorais les cahiers de vacances!) alors oui c’est une bonne idée, mais si on force l’enfant ce n’est sans doute que très peu utile. Surtout que les parents ne sont pas les profs de leurs enfants (bien heureusement) donc comme souvent en matière d’éducation ça dépend de chaque cas! Bonnes vacances à tout le monde !!!