A tout seigneur, tout honneur. Avant que les jeunes stars hollywoodiennes ne sachent même que l’écologie existe, Robert Redford, en vrai pionnier, l’Homme qui murmure à l’oreille des chevaux, a su mettre du vert dans sa vie et sa carrière. Enfant, il a vu le parc naturel à côté duquel il vivait, disparaître.
L’homme raconte alors : « L’herbe a été remplacée par le ciment, les arbres ont été dessouchés et j’ai vu pousser un immeuble ». Une anecdote qui explique peut-être son engagement…
Robert Redford, une conscience écologique précoce
Dès les années soixante, le réalisateur américain est à l’origine d’une initiative, le Sundance Festival, visant à mettre en valeur le potentiel touristique de l’Etat de l’Utah en préservant son équilibre écologique.
La conscience écologique de Robert Redford remonte à son enfance.
Il se sentait étouffé dans l’immense San Fernando Valley près de Los Angeles, avec « la désagréable impression d’avoir un couverture sur la tête ».
A la fin des années 50, il refuse un rôle à New York malgré l’insistance de l’imprésario.
Robert Redford a alors 24 ans et il achète un terrain caillouteux et désert dans l’Utah qu’il baptise Sundance.
Suivra un festival de cinéma qui mettra un point d’honneur à associer écologie et ambition artistique. Devinez ce que l’on consomme pendant le Sundance Festival ? Café et thé bio équitable, jus de fruits naturels, gâteaux bio, …
Robert montre ainsi qu’on peut laisser toute la place à une passion professionnelle tout en montrant son engagement pour la sauvegarde de l’environnement.
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La suite >>> Redford, homme en colère et engagé
c’est bien de parler de site web dédié au réchauffement climatique, mais ce serait sympa de mettre le lien vers ce site !
oui, vous avez raison … un petit oubli : vous pouvez voir cette vidéo sur ce lien http: //wn.com/The_Heat_is_On_introduction_narrated_by_Robert_Redford