Le cyberactivisme culinaire fait plier Subway
Suite à la mobilisation massive des internautes sur le web, Subway n’a eu d’autres choix que de retirer l’azodicarbonamide de la liste des ingrédients de ses sandwichs. Même si la substance est autorisée par Santé Canada.
En effet, dans un rapport publié en 2013, Santé Canada estime que les risques inhérents de l’azodicarbonamide sur la santé sont minimes.
Cependant Subway a annoncé qu’il avait commencé à ne plus mettre la substance chimique dans ses pains. Aucune date précise n’a été fournie pour le retrait total du blanchissant chimique dans les pains de Subway.
« Notre usage de cet ingrédient a toujours été en conformité avec les réglementations sur les additifs alimentaires. Cependant, en 2013, nous avons commencé à supprimer l’azodicarbonamide, et la transformation complète sera terminée dans les prochaines semaines. Malgré ce que vous avez pu entendre ou lire, ce projet de conversion est en marche depuis un certain temps » a indiqué Subway dans un communiqué de presse. La chaîne de restaurants retire aussi l’élément chimique de ses pains aux États-Unis.
Le cyberactivisme culinaire : une arme redoutable ?
Ces dernières années, le cyberactivisme a connu un développement croissant. Il n’est pas encore très médiatisé et pourtant, il peut s’avérer très utile.
En effet, les cyberactivistes passent à la loupe les ingrédients et les valeurs nutritives des produits de plusieurs compagnies d’alimentation. Et certaines sont dans leur ligne de mire.
L’objectif des cyberactivites culinaires ? Persuader les industriels d’offrir des aliments sains aux consommateurs.
Le cyberactivisme culinaire compte déjà un palmarès
La mobilisation des internautes pour faire plier l’enseigne Subway n’est pas la première ni la dernière à voir le jour.
En effet, Pepsi Cola a supprimé le VGO, une huile végétale controversée, de la liste des ingrédients de ses boissons Gatorade suite à la mobilisation de 200 000 internautes ayant participé à une campagne en ligne lui demandant son retrait.
Autre cas : Renee Shutters, une new-yorkaise, réclame via une pétition en ligne à la compagnie Mars de ne plus colorer ses bonbons M&M’s avec un colorant artificiel.
En effet, ce dernier causerait une hyperactivité chez les jeunes enfants. Cette campagne est appuyée par le Center for Science in the Public Interest et soutenue par plus de 155 000 signataires. Le colorant est interdit en Europe. Mais Mars n’a pas encore donné suite à la requête. Alors, cela vous inspire-t-il ?
Le succès des actions des cyberactivistes culinaires dépend du rayonnement des informations factuelles qui soutiennent leurs demandes et la maîtrise des techniques de base du marketing sur le web.
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l’azodicarbonamide ?! mais pourquoi aller aussi loin, il suffit de gouter ces sandwichs 1 fois pour se rendre compte que ça peut rendre malade rien que parce que c’est horriblement infecte ! Moi j’ai déjà donné et je préfère encore Mac Do…. c’est dire……….
Je ne boit ni Pepsi ni Coca Cola comme aucun de ces breuvages. Si ce n’est Ginger Ale de Canada Dry et ce occasionnellement. Ainsi ma santé ne s’en porte que mieux. Je ne fais pas confiance aux grandes entreprises alimentaires. Leur seul objectif est de s’enrichir par tout les moyens et ce en économisant sur la qualité des ingrédients qu’ils utilisent.
Comment réduire à néant la crédibilité d’un article.
Ecrire avec une faute monstrueuse l’élément principal de l’article.
L’azoducarbonamide n’existe pas, à la limite, l’azodicarbonamide oui, mais pas le premier.
Et franchement, faudrait se renseigner un peu avant de pondre des traductions moisies, les consommateurs européens s’en tapent complètement, puisque cet additif est interdit dans nos contrés.
Pour les neuneus qui prennent ce genre d’articles et traitent les industries alimentaire de monstres, renseignez vous d’abord et fermer là.
Le problème de l’article ici, c’est qu’il n’indique pas clairement que c’est un problème qui ne touche que le marché américain qui n’est pas régulé de la même manière que le marché européen.
Pour commencer, renseignez vous sur le mécanisme de la liste noire appliqué aux USA, en opposition à la liste blanche en Europe.
T’as mal lu mon cher. relit l’article et tu vas voir qu’il mentionne que le problème n’existe pas en europe.
« A noter que le composé chimique ne serait pas utilisé dans les restaurants Subway en Europe et en Australie. »
Phrase au conditionnel, et donc ne mentionne pas précisément que le problème n’existe pas en Europe, cela donne même l’effet inverse…
Bref, de toute façon, ce site semble bourré de conneries. C’est vraiment incroyable de lire autant de stupidités, on se croirait presque sur le gorafi…
…Sauf qu’avec le traité transatlantique qu’ils sont en train de nous pondre en lousdé mon cher, nous allons nous récolter la même merde puisqu’ils auront dorénavant le droit de nous les exporter ! Vive la mondialisation, vive le capitalisme !
MARRE des industries alimentaires pour engraisser certains et rendre malade la plupart !!!!!!!
Une éthique et des contrôles plus rigoureux avec sanctions devraient être mis sur le marché des ces denrées inconsommables !!!!!
Bonjour
Le gros problème que n’arrivent pas comprendre les industries, c’est que lorsque l’on boycotter une marque, c’est a vie
Alors si elle commençais d’elle même a supprimer tous les produits controversé elle ne serais pas obliger de dépenser des milliard pour nous faire croire qu’elle sont clean.
et dans le monde des bisounours je serais heureux.
Patrick