Les voitures électriques commencent à se démocratiser avec des véhicules à des prix accessibles (comme la Zoé de Renault) et les constructeurs commencent à rivaliser sur ce terrain. consoGlobe vous propose le test d’une voiture électrique hors norme : la Fisker Karma.
La Fisker Karma, voiture électrique d’exception
La Fisker Karama est une belle et grande GT qui adopte une motorisation particulière. Il s’agit d’une voiture électrique à prolongateur d’autonomie. En route pour quelques explications.
Ne nous trompons pas : le nom « Fisker » n’est pas attribué à un hurluberlu qui aurait construit une caisse à savon au fond de son garage. Henrik Fisker est un génial Danois, designer, le père de l’Aston Martin DB9 et de la BMW Z8, marques qui l’employaient avant qu’il ne décide de voler de ses propres ailes.
Rendre le sport et l’écologie compatibles
Installé aux USA, voici notre homme à la tête d’une marque automobile et d’un projet fou, celui de la Karma. L’idée de cette voiture de prestige est née après une cérémonie des Oscars, où Leonardo di Caprio était arrivé dans une hybride bien moins luxueuse.
Plutôt réussie, avec ses 5 mètres de long et ses 2 mètres de large, la Karma ne passe pas inaperçue.
Basses, ses lignes s’élancent au-delà de cet immense capot pour fuir vers l’arrière élargi. L’esthétique y est, renforcée encore par ses énormes roues de 22 pouces, les connaisseurs apprécieront.
A l’intérieur, on est bluffé par cette grande planche de bord et par le cuir, omniprésent. Fisker assure d’ailleurs que ce cuir est obtenu uniquement sur du bétail destiné à l’abattage alimentaire. L’empreinte écologique n’est pas un vain mot dans cette quatre places.
c’ est bien pour les creneaux en centre ville de toulouse ?
C’est bien de donner ses points fort et faible, mais ça serait bien de donner les caractéristiques concernées, prix et poids notamment !
c’est une magnifique voiture cette FISKER KARMA, j’aimerai bien l’avoir dans mon garage.
C’est par le haut de gamme qu’il faut innover afin de trouver les finnancements. La technologie employée (électrique entrainant les roues, atmosphérique alimentant la génératrice via un alternateur)est ingénieuse et mérite que l’on s’y attarde, la preuve par la consommation d’essence pour une voiture de ce gabarit.
la consommation « ridiculement basse entre 4 et 8 litres … » relativise bien sûr le reste même si elle reste un belle bête