9 – On retourne aux fourneaux… et au marché
Reprendre la main sur son alimentation passe aussi par un retour… à la cuisine !
Préparer soi-même ses repas permet de mieux gérer à la fois la qualité, mais finalement aussi la quantité de ses apports nutritionnels. On peut choisir ses aliments, la recette et les modes de cuisson pour les cuisiner… qui impliquent aussi une meilleure utilisation du sel et des matières grasses.
Le choix des aliments implique aussi de les choisir, si possible, de meilleure qualité organoleptique et nutritionnelle : ce sont les aliments bruts, non transformés, de saison et de production locale la plupart du temps, bios pour ceux qui ne veulent pas d’une alimentation chargée en polluants.
Donc faites les courses ! Allez au marché ! Choisissez vos fruits, vos légumes, votre viande et votre poisson comme si vous choisissiez des pépites, des trésors nutritionnels avec lesquels vous êtes sûr de vous faire plaisir.
10- Vive le plaisir !
Faites-vous plaisir en mangeant ! C’est l’une des 3 fonctions de l’alimentation et elle est essentielle. C’est elle qui part avec les régimes ; c’est elle qui régit notre comportement alimentaire ; c’est elle que l’on recherche quand on n’en a plus ailleurs.
Se faire plaisir en mangeant ne se fait pas pour autant n’importe comment.
C’est une véritable dégustation qu’il faut faire : lentement, en utilisant tous les sens (vue, toucher, odorat) avant la mise en bouche, à l’instar des sommeliers et oenologues. La mise en bouche doit être un feu d’artifice de saveurs et d’arômes, à apprécier à leur juste valeur.
Pour ce faire, préparez de belles assiettes, faites de jolies composition, jouez sur les couleurs et les textures, comme les grands chefs. Inspirez-vous d’eux et laissez parler votre créativité.
L’avis de la diététicienne
L’alimentation doit être une fête, pas une corvée. Il faut la réenchanter !
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J’ai oublié de dire que j’avais trouvé cet article très intéressant.
C’est bien d’avoir un angle de vue un peu différent.
Nous ne sommes pas que des « organismes », nous avons des émotions, c’est un facteur à prendre en compte.
Privilégier les index glycémique est une bonne idée, cependant attention au cas des produits laitiers : si leur index est bas, il ne sont pas exempts de sucres pour autant (lactose) certains et ont une « charge glycémique » élevée ou peuvent être moins bien tolérés (problèmes digestifs).
Donc oui mais pas trop.
La « to-do list », encore une trouvaille pour faire croire que, comme c’est anglais, c’est mieux qu’en français. Eh oui, je suis un ringard qui défend notre langue.
+ 1.
Je suis patriote au sens géographique du terme. La culture internationale est la somme des cultures nationales. Je suis résolument internationaliste mais je n’oublie pas que je suis français et comme vous je défend notre culture; et ça commence pas le bon usage de notre langue. La base de toute culture nationale commence par la connaissance de son histoire et de la ou des langues parlées. La culture mise en avant aujourd’hui n’est que l’expression de saltimbanques pauvres d’esprit et sans courage en mal de vivre. Le Général l’a dit dans ses mémoires: » La France c’est fini… ».
Le monde s’uniformise, il s’américanise (DD EisenHower 34ième Président des EU).
Les Français ont perdu tout caractère, il ne reste plus que des dinausores et quelques Résistants.
Les Français sont appelés à disparaître, c’est inéluctable, et c’est tant mieux parce qu’ils deviennent de plus en plus cons.
Le livre cité de Claude Fischler s’intitule « L’Homnivore » et non l’Omnivore.
Merci
C’est corrigé ! Merci !! 🙂