Par certains aspects, les préoccupations environnementales suivent des modes : ainsi on parlait beaucoup du trou dans la couche d’ozone il y a des années, beaucoup moins à présent, pour se concentrer sur d’autres combats. Pour autant, il est toujours une réalité, même s’il s’est réduit ces derniers temps.
Le trou dans la couche d’ozone existe toujours…
Le trou dans la couche d’ozone est tellement années daté 80/90 qu’il en serait presque has been.
Le phénomène est pourtant toujours une réalité, même si des mesures ont permis sa réduction partielle, et notamment l’interdiction de certains produits chimiques particulièrement toxiques et néfastes pour la couche d’ozone, le chlore et le brome en tête.
Dans les années 80, les chlorofluorocarbones (CFC) causaient de très gros dégâts dans la couche d’ozone, qui protège les êtres vivant sur Terre des rayons UV nocifs du soleil. Le protocole de Montréal est venu apporter une réponse partielle même si, les polluants subsistent tellement longtemps dans l’atmosphère (en dizaines d’années) qu’ils continuent leurs dégâts même depuis cettte interdiction de produits chimiques.
Une légère réduction
Ainsi, le trou s’ouvre toujours chaque année au-dessus de l’Antarctique. Néanmoins le satellite Aura de la NASA a pu enregistrer des résultats intéressants : le trou est légèrement plus petit que la moyenne des dernières années.
Il reste néanmoins important : 21 millions de kilomètres carrés, contre une moyenne de 22,5 millions de km2. Pas de quoi sauter au plafond, mais une bonne nouvelle cependant. Pour l’Agence Américaine d’étude de l’océan et de l’atmosphère (NOAA), cela ne constitue pas une preuve que la couche d’ozone récupère réellement, il faudra observer son évolution.
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YESSSSSSSSSSSSSSS !