Un nouvel étiquetage textile pour une véritable prise de conscience
Le consommateur ne pourra plus dire qu’il pensait que c’était de la fausse fourrure ! Les négociateurs du Parlement et du Conseil sont parvenus à un accord concernant une nouvelle réglementation autour de l’étiquetage textile.
Dès lors, l’usage de matière d’origine animale doit figurer sur les étiquettes des vêtements.
Une bonne nouvelle pour Toine Manders, rapporteur du Parlement :
« Avec cet accord, nous avons franchi un grand pas vers l’achèvement du marché intérieur des produits textiles, avec des avantages clairs pour les consommateurs, l’industrie et les États membres.
Je suis fier de ce que nous avons réalisé. Je pense que le Parlement a fait preuve d’une vision claire sur les questions de consommation« .
De plus, lors des négociations, le Conseil a invité la Commission a réalisé une étude d’ici le 30 septembre 2013 concernant un système d’étiquetage d’origine ainsi que sur un éventuel lien de causalité entre les substances chimiques utilisées dans la production de vêtements et des réactions allergiques.
Les mentions sur l’entretien et l’origine toujours facultatives
Aujourd’hui, outre la composition et le prix, aucune mention particulière n’est obligatoire.
Les conseils sur l ‘entretien, la taille ou le fameux « made in… » ne sont mentionnés que par les fabricants volontaires.
Espérons que dans un futur proche soit bien mis en place un étiquetage social et écologique où paraitront des précisions sur l’utilisation de substances allergènes ainsi qu’un système de taille uniforme comme cela a déjà été évoqué à plusieurs reprises.
*
Article publié le 11 mai 2011, mis à jour le 08 juin 2012
Entre magazines, romans et presse générale, je suis une passionnée de l'information, qu'elle soit sérieuse ou décalée ! Consommer durable n'est pas qu'un...
https://www.consoglobe.com/redacteur/aurore
Voir sa fiche et tous ses articles
Devenir rédacteur
Une grosse imprécision dans cet article, en plus de la fourrure, la laine est également « matière d’origine animale » et là on n’a pas à avoir mauvaise conscience à la voir utilisée (sauf éventuelle maltraitance).
Les étiquettes textiles vont-elles distinguer le type de « matière d’origine animale » ?
nous attendons avec impatience que le même type de règlementation soit mis en place en Europe (dans tous les pays), concernant la composition des aliments industriels, plats préparés etc !
Parce que nous voulons pouvoir choisir de consommer des aliments sans produits d’origine animale !
Une grosse imprécision dans cet article, en plus de la fourrure, la laine est également « matière d’origine animale » et là on n’a pas à avoir mauvaise conscience à la voir utilisée (sauf éventuelle maltraitance).
Les étiquettes textiles vont-elles distinguer le type de « matière d’origine animale » ?
une bonne initiative !
nous attendons avec impatience que le même type de règlementation soit mis en place en Europe (dans tous les pays), concernant la composition des aliments industriels, plats préparés etc !
Parce que nous voulons pouvoir choisir de consommer des aliments sans produits d’origine animale !