Les pesticides dans l’eau
Les 4 479 mesures effectuées en 2005, ont permis d’établir le palmarès de la pollution suivant pour les produits dépassant les taux de pesticides autorisés : 31,8 % des céleris branche, 26,1 % des bottes de persil, 23,2 % des poivrons, 21,4 % des raisins secs, 19 % des pêches, 16,7 des ananas, 16,1 % des fraises, 12,1 % des feuilles d’épinards 10,8 % des céleris raves 10,2 % des salades, 9 ,9 % des haricots non écossés, 8,3 % des pommes de terre nouvelles, 7,7 % des mandarines. est très contrôlée mais en 2001, le contrôle sanitaire montrait que 5 % des foyers avaient été alimentés par une eau dépassant les limites de substances toxiques autorisées. De 2001 à 2003, quasiment tous les contrôles ont été bons.
La teneur en pesticides
Une autre manière de mesurer la teneur en pesticides consiste à mesurer la teneur en milligramme par kilo (mg/kg) des différents aliments.
Quelques résultats trouvés dans certains aliments :
- Oignons : 10.9 mg/kg de résidus de fongicide alors que la limite LMR est de 1 mg/kg
- Pommes de terre : 12.8 mg de résidus fongicides contre une limite de 5 mg/kg
- Viande de boucherie : en 2003, 0.4 % des contrôles non conformes (insecticide lindane)
- Tomates : 1 mg d’acaridices ou insecticides (limite : 0.5 mg/kg)
- Salades : jusqu’à 4.3 mg d’insecticides (acéphate) (limite : 0.02 mg/kg)
- Le Pain : des traces de chlorpyrilfos-methyl ou de dichlorvos sont parfois trouvées dans le blé ou le seigle
- Le Persil : 12.8 mg (fongicides) (limite : 5mg/kg)
- Œufs : en 2003, 1,3 % des contrôles étaient mauvais (supérieurs à la limite de 0.1 mg de lindane par kg) Les Fromages : une étude montre des traces de contamination organochlorés (jusque 1 mg/kg de chlordane)
- Mandarine : 0.17 mg d’insecticides (surtout le fenthion)
- Fraises : contient parfois des fongicides (bénomyl, 0,25mg vs une limite de 0.1 mg/kg ou du cyprodinil, 3.1 mg vs limite de 2 mg)
- Le vin : le raisin peut contenir plus de 2 mg/kg de thiocarbamate et donc le vin en contient aussi jusque 0.1mg.
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La suite p.4> se prémunir contre les pesticides
je rajoute encore, que les pllantes ne devraient pas être cultivées
sous serre, et voir la matière où les racines puisent leurs nourritures.
C’est sous le bon soleil, quelle doivent aussi pousser, et non être poussées dans les serres chauffées et qui coute les yeux de la tête.
Maintenant j’en connais, beaucoup, qui sont réellement biologiques.
Facile a reconnaitre les fruits pomme par exemple ne peuvent pas aussi belle que les chimique…il y a de engrais tel le sang, la corne sont trés cher mais BIO.
Bonjour, a la lecture des poisons, il y en a partout, absolument partout.
Les cultivateurs, dont les cultures sont fortement traitées, devraient
deminuer les doses.
Et comme ils gagnent très peu comme paiement pour leurs cultures, si,
ils en mettaient moins, ou, pas du tout, cela leur seraient des dépenses de moins, dont de fortes économies au vue, du prix de ces produits.
Condition du Bio, j’en suis en plein doute ! pourquoi ? que les terres
cultivées avec tous les produits sanitaires, ne se retrouve pas du jour au lendemain privée de ces produits.
Dans le temps, je cultivais mon jardin biologiquement, mais pour que la terre soit BIO, il fallait attendre 15 ans.
Vu le grand nombre de commerces BIO, je n’y crois pas!
Dés que l’on donne le pouvoir aux autres de décider a notre place;on prend un rique vital.Les industriels de l’agroalimentaire ne sont motivés que part leur benefice ;la mort programmée et soigneusement entretenue permet de lutter contre la surpopulation presente et à venir.Mourir jeune;régle en partie les deux fléaux :le chomage et les retraites.
Je trouve que plus ca va ,je mange de la merde …si ta le malheur de prendre du 1er prix ,c est de la sauce de limace
Dans cet inventaire, je pensais trouver les pommes en bonne place dans les produits les plus pollués, or ils n’y figurent pas ???? Bizarre…!!!!
@Flogaya…
Vous êtes payés par l’agro businessour sortir de telles énormités ou quoi ?!!!!
Il est avéré (à ce titre, je ne peux que vous conseiller la visionnage et la lecture aussi) des conférences (du livre) de Claude et Lydia Bourguignon, lesquels affirment, preuve à l’appui que la valeur nutritive de nos fruits et légumes actuels (ceux de l’agro business donc) est moitié moins importante que celle s’il y a 60 ans (tiens donc, avant que lagrobusniness n’envahisse la planete et répande ses « bienfaits » à travers cette supercherie que fut la révolution verte. Non seulement, les produits BIO sont de meilleure qualité, ont meilleurs goûts, mais en plus, ils sont de moins en moins chers. Maintenant, libre à vous de continuer à vous empoisonner.