Fair Oaks Farms : un Disneyland en pleine campagne ?
A Fair Oaks Farms, la traversée des étables se fait en car et se termine devant le magasin des souvenirs et des produits dérivés.
Jed Stockton est surpris « on voulait faire une place aux visiteurs. Mais nous n’imaginions pas un tel succès ».
Au sein de la ferme, on usine du lait mais aussi des cochons : plus de 7000 truies. Et bientôt, des poulets viendront s’ajouter à la liste. Un studio pour accueillir des scientifiques est également inscrit au programme.
Un restaurant de quelques 500 couverts a même ouvert ses portes en juillet. Mais loin d’être anecdotique, cette ferme se place aujourd’hui comme une puissante vitrine de l’agro-industrie.
Fair Oaks Farms : elle trace le chemin vers d’autres exploitations XXL
C’est un fait : la planète a soif de lait. Dans des pays tels que la Chine, l’Inde ou encore le Vietnam, une nouvelle classe moyenne prend goût aux desserts lactés ou remplace l’allaitement par de la poudre de lait infantile.
Fu Wenge, spécialiste de l’agriculture chinoise souligne que « le marché est immense. Il faut être capable de répondre à sa demande ».
Ce choix politique entraîne avec lui la disparition des petites exploitations. En effet, pour alimenter des villes de plus en plus tentaculaires, l’accent est mis sur des élevages industriels.
Ces HLM horizontaux pour ruminants pourront donc accueillir des milliers de vaches. Confinées dans des étables, équipées de capteurs qui suivent en temps réel leurs performances et leurs moindres soucis de santé, ces dernières ne verront jamais la couleur de la prairie.
Selon Fu Wenge, « il y a aujourd’hui 200 millions d’éleveurs en Chine. Il n’en restera plus que 20 millions dans dix ans ».
Et cela, au nom de l’efficacité et de la sécurité alimentaire. Car tout doit être sous contrôle : les hommes ainsi que les animaux.
le seul moyen d’éviter cela c’est de payer le lait à un prix correct
Actuellement c’est le même prix qu’il y 30 voir 40 ans
Autre petite anecdote
avant la guerre 39-45 mon grand père prenez un litre de lait et se faiser coiffer et raser à la ville voisine. je vous laisse faire le calcul aujourd’hui
Amicalement
Mon dieu. J’ai envie de pleurer. Être impuissants et regarder passivement me rend malade. Qu’est ce qu’on peut faire? L’Union fait la force en tout cas.
Quelle désolation de voir ce que l.homme fait subir à la nature et aux animaux
rentabilité rentabilité!
et on vient nous dire de ne pas abuser des antibiotiques ,quant on vois cet amalgame de bétails il doit y en avoir d’administré des médicaments!
quelle horreur
Cet été j’ai lu le livre de Thierry Souccar « lait, mensonge et propagande », depuis je ne consomme plus de produits laitiers de vache, juste ceux de chèvres et de brebis. Je bois également de temps en temps du lait d’amandes.
Fini pour moi le lait aux antibiotiques, au pus et on ne sait pas ce qu’elles mangent les pauvres bêtes ! 🙁
Que les moutons de Panurge continuent de croire que « les produits laitiers sont nos amis pour la vie » !!
Moi aussi je suis navrée du comportement de certains humains. Les plus avides d’argent mènent notre pays à la ruine, et ailleurs c’est aussi ce qu’il va se produire.
Il est intolérable de voir comment sont traites les animaux pour l’enrichissement de quelques uns.
Ne parlez plus de progrès, cela n’en est pas. C’est une déchéance de plus. Qu’est ce la VIE pour ces hommes quine pensent qu’à la rentabilité ? qu’au pouvoir ?
Avec ce nouveau élevage de vache industriel , on a pas fini de manger de la merde .Les vache s’est fait pour manger de l’herbes .
On sais tous, que l’élevage en batterie, les animaux doivent prendre des médicaments voir des antibiotiques que l’on retrouvera dans le lait et la viande.
Nous avons des bonnes terres d’élevage avec des belles prairies qui est destiné aux herbivores laisser nos petite fermes faire leurs travailles .
Ne copions pas sur la connerie de nos pays voisins .
Je peux vous dire que le gigantisme s’est la mort des paysans ,l’environnement va subir encore un nouveau coup dure , la biodiversité il y en aura plus , déjà actuellement ou j’habite il ni y a plus biodiversité se son des grandes terres , ils ont arraché et bruler tous qui gène sur leur passage , un vrai désastre
si nos morts revenaient a la vie ils pleuraient de voir que leurs descendances on fait .
Faire des élevages intensif va perde de la valeur de notre label Français .
On demande aux éleveurs de faire du bon de la qualité et on nous débarque l’élevage de vache industriel ; chercher l’erreur .