L’intolérance au gluten : la maladie coeliaque
La mode des régimes sans gluten fait trop souvent oublier que le gluten est à l’origine d’une vraie maladie : la maladie coeliaque. C’est l’une des maladies du système digestif les plus fréquentes aujourd’hui, selon l’AFDIAG ( Association française des intolérants au gluten).
C’est une intolérance permanente au gluten.
La maladie coeliaque est une maladie auto-immune, en corrélation avec l’antigène HLA-B27 et la présence d’auto-anticorps (anti-gliadine, anti-endomysium et anti-réticuline). Elle a pour effet d’atrophier (ou de raboter) les villosités intestinales (les nombreux replis de la muqueuse intestinale) qui permettent la bonne absorption des nutriments dans l’intestin.
Qui est concerné ?
– Les enfants avant l’âge de 2 ans : les signes cliniques de la maladie coeliaque sont dominés par des signes digestifs : diarrhées, vomissements, douleurs abdominales, anorexie, retard de croissance, aphtes récidivants, anémie ferriprive, déficit en Calcium.
– Les adultes : la maladie peut être asymptomatique sur le plan digestif ou se limiter à une diarrhée chronique, une asthénie (fatigue persistante), une anémie et des douleurs articulaires.
La maladie coeliaque est souvent associée à d’autres pathologies comme les lymphomes, le diabète de type 1, les maladies thyroïdiennes, etc.
Elle se détecte avec plusieurs examens :
- une prise de sang pour vérifier la présence des anti-corps spécifiques (mais ils sont parfois négatifs quand même).
- une rémission après la mise en place d’un régime sans gluten
- une fibroscopie avec une biopsie pour confirmer les atrophies villositaires (si cet examen est positif, la maladie ne fait plus aucun doute.
Quel est le traitement ?
Il n’y en a qu’un seul : l’exclusion totale et définitive du gluten, à vie.
Le régime sans gluten peut d’abord paraître très difficile à mettre en place. Mais il est beaucoup plus facile aujourd’hui qu’il y a encore quelques années :
- la législation impose de signaler les produits alimentaires contenant du gluten sur les étiquettes,
- les produits sans gluten sont de plus en plus nombreux et accessibles, notamment les types de farines comme la farine de riz.
Les malades coeliaques déclarés sont d’ailleurs remboursés par la Sécurité Sociale pour l’achat de ces produits.
Grâce à l’acupuncteur, on a décelé une légère réaction au gluten à mon fils alors qu’il avait…16 ans !
Il a eu un traitement avec des granules « gluten », pendant le traitement, j’ai fait des gâteaux à la farine de riz, de châtaigne, de quinoa, de sarrasin, de « foufou », etc. Les pâtes à la farine de maïs ou de riz sont très bien (en vrac chez certaines Biocoop, pas toutes), mais on peut cuisiner autre chose que des pâtes comme céréales ou farineux (la patate douce ou les pommes de terre classiques, le riz complet, quinoa etc).
Changement complet pour lui au niveau digestif, plus de selles collantes, une peau de bébé : une vraie révélation.
PAR CONTRE…..dès qu’il recommence à manger n’importe comment, il récolte les mêmes peu glorieux résultats.
Sincèrement, cuisiner sans gluten n’est pas compliqué, et si on s’abstient d’encourager la niche que les publicitaires se sont dépêchés de s’approprier sur ce sujet, et qu’on évite les produits ensachés à prix d’or étiquetés « sans gluten », on peut très bien cuisiner à prix normal. C’est juste qu’il n’y aura pas ce fichu gluten !
le docteur Jean Seignalet de la fac de Montpellier a été le premier à établir un rapport entre l’alimentation particulièrement le gluten et certaines maladies comme la sclérose en plaques
même si on nest ni allergique, ni intolérant, trop de gluten n’est pas bon pour la santé ; qund j’étais petite, mes parents faisaient eux-mêmes la colle pour le papier peint avec de l’eau et … de la farine ; et ça collait grâce au gluten contenu dans le blé ; cette colle va
pourquoi mes commentaires sont-ils systématiquement interrompus, pour cause de doublon ? ? ? ça devient lassant ; je disais que cette colle enrobe vos intestins
Grâce à l’acupuncteur, on a décelé une légère réaction au gluten à mon fils alors qu’il avait…16 ans !
Il a eu un traitement avec des granules « gluten », pendant le traitement, j’ai fait des gâteaux à la farine de riz, de châtaigne, de quinoa, de sarrasin, de « foufou », etc. Les pâtes à la farine de maïs ou de riz sont très bien (en vrac chez certaines Biocoop, pas toutes), mais on peut cuisiner autre chose que des pâtes comme céréales ou farineux (la patate douce ou les pommes de terre classiques, le riz complet, quinoa etc).
Changement complet pour lui au niveau digestif, plus de selles collantes, une peau de bébé : une vraie révélation.
PAR CONTRE…..dès qu’il recommence à manger n’importe comment, il récolte les mêmes peu glorieux résultats.
Sincèrement, cuisiner sans gluten n’est pas compliqué, et si on s’abstient d’encourager la niche que les publicitaires se sont dépêchés de s’approprier sur ce sujet, et qu’on évite les produits ensachés à prix d’or étiquetés « sans gluten », on peut très bien cuisiner à prix normal. C’est juste qu’il n’y aura pas ce fichu gluten !