Ça y est, le printemps arrive et tout ce qui va avec : éternuements, yeux qui grattent, gorge irritée… Les pollens déplacés par le vent agissent comme de puissants allergènes et font le malheur des 20 % de Français souffrant du rhume des foins. La date est donc toute trouvée pour la mise en place de la Journée Française de l’allergie, 6ème édition.
Informer et sensibiliser sur les allergies respiratoires
La Journée Française de l’Allergie organisée par l’association Asthme & Allergies a pour vocation de sensibiliser le grand public sur les problématiques de l’allergie, qui sont parfois prises « à la légère ». Bien souvent en effet, les allergies ne sont pas diagnostiquées et encore moins soignées ; elles risquent alors de s’aggraver dans le temps.
Accéder à la fiche pratique : Télécharger la fiche pratique lutter contre les allergènes
Les allergies, mal du siècle ?
Les chiffres concernant le phénomène d’allergies sont éloquents :
- Il y a 20 ans, on recensait 3 % de Français souffrant d’allergies. Aujourd’hui, elles touchent plus de 25 à 30 % de la population !
- La pollution est 5 à 10 fois plus élevée à l’intérieur qu’à l’extérieur. En cause : un air moins souvent renouvelé et chargé de polluants émanant de produits d’entretien, meubles, revêtements, poussière, désodorisants, etc. Et quand on pense que nous passons près de 90 % de notre temps en espace clos, on se rend compte de l’importance d’aérer au quotidien, au moins 10 min !
>> Pour en savoir plus sur les polluants intérieurs, téléchargez la fiche pratique
>> Pollution intérieur : avis d’expert
>> Aller plus loin sur le thème des allergies avec l’Encyclo-Ecolo
Allergies, chiens et chats
Une étude américaine a démontré que les enfants élevés depuis toujours avec des chiens ou des chats présentaient à l’âge de 7 ans 2 fois moins de risques de développer des allergies. Sans doute parce que les bactéries transmises par ces animaux modifient la façon dont le système immunitaire répond aux substances allergènes.
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Sur l’allergie :
Allergie : les allergènes ont bon dos !
La médecine moderne donne comme cause des allergies, par exemple, saisonnières, le pollen, les graminées… mais elle fait manifestement fausse route ! La question qui n’est, sinon jamais, du moins trop rarement posée, c’est pour quelles raisons certaines personnes sont allergiques et d’autres pas. Quant on se la pose en science médicale conventionnelle, c’est pour montrer du doigt des prétendus facteurs génétiques. Cependant suivant ce que des recherches en épigénétique ont démontré, les gènes ne sont que des sortes de photos de l’état physiologique à un moment donné : notre carte génétique mute en permanence en fonction de notre vécu.
Lire l’article sur http://www.retrouversonnord.be/allergie.htm et prendre connaissance de cas vécus qui vous
permettront de constater que de telles « expériences montrent que le développement d’une allergie n’a RIEN à voir avec le contact réel avec le seul prétendu allergène, mais met en jeu des croyances propres à la personne ; elle les développe dans la mesure où s’active une mémoire souffrante et même si c’est suite, par exemple, à une vaccination. La vaccination peut en effet réveiller une situation conflictuelle enfouie en rapport à la symbolique de l’organe touché : le vaccin n’est alors que le déclencheur psychologique de l’allergie. »
Allergie : les allergènes ont bon dos !
La médecine moderne donne comme cause des allergies, par exemple, saisonnières, le pollen, les graminées… mais elle fait manifestement fausse route ! La question qui n’est, sinon jamais, du moins trop rarement posée, c’est pour quelles raisons certaines personnes sont allergiques et d’autres pas. Quant on se la pose en science médicale conventionnelle, c’est pour montrer du doigt des prétendus facteurs génétiques. Cependant suivant ce que des recherches en épigénétique ont démontré, les gènes ne sont que des sortes de photos de l’état physiologique à un moment donné : notre carte génétique mute en permanence en fonction de notre vécu.
Prendre connaissance de cas vécus qui vous permettra de constater que de telles « expériences montrent que le développement d’une allergie n’a RIEN à voir avec le contact réel avec le seul prétendu allergène, mais met en jeu des croyances propres à la personne ; elle les développe dans la mesure où s’active une mémoire souffrante et même si c’est suite, par exemple, à une vaccination. La vaccination peut en effet réveiller une situation conflictuelle enfouie en rapport à la symbolique de l’organe touché : le vaccin n’est alors que le déclencheur psychologique de l’allergie. »