Les masques portés par les élèves et les adultes pourront toujours être en tissu, mais devront avoir une filtration de 90 % minimum.
Une meilleure capacité de filtration pour une protection renforcée
Clap de fin pour les masques artisanaux. En vertu du décret du 27 janvier 2021, les masques artisanaux ainsi que les masques « de catégorie 2 » ne sont plus considérés comme des masques de protection. En somme, ils sont désormais considérés comme de simples accessoires de mode. Dans les situations où un masque de protection doit être porté (dans un établissement scolaire notamment), il faut désormais être muni d’un masque chirurgical (les fameux masques bleus) ou bien d’un masque en tissu lavable et réutilisable, à condition qu’il soit « de catégorie 1 ».
La différence entre les deux catégories de masques réside dans leur capacité de filtration. Les masques « de catégorie 1 » offrent une capacité de filtration élevée, de 90 % minimum. Ils ne laissent passer que des aérosols de moins de 3 microns. Les masques « de catégorie 2 » ainsi que des masques artisanaux, moins performants de ce point de vue là, sont désormais bannis.
Les enfants doivent porter des masques de catégorie 1 © Egrigorovich
La catégorie du masque et un logo sur les masques
Alors, comment reconnaître ces masques désormais préconisés ? Leur capacité de filtration doit être indiquée sur l’emballage – si ce n’est pas le cas, optez pour un autre modèle pour vous assurer que vous achetez un masque conforme. Les masques « de catégorie 1 » fabriqués en France arborent un logo bleu-blanc-rouge, obligatoirement, la mention « grand public filtration supérieure à 90 % ». Le nombre de lavages effectués en test est également indiqué. Quant aux masques sans indication de catégorie, ils seront toujours autorisés à la vente jusqu’à la fin de l’année à condition que leur filtration soit indiquée.
Le logo qui devra désormais figurer sur les masques en tissu. © Ministère de l’Économie et des Fiances
Dans les établissements scolaires, le masque « de catégorie 1 » doit être porté par tous les élèves, dès le CP. L’Éducation nationale considère que cette exigence permettra d’accueillir tous les élèves dans l’ensemble des écoles, collèges et lycées. Le protocole sanitaire a en revanche été renforcé concernant l’accueil et la sortie des enfants, l’organisation des circulations et la restauration scolaire. Deux hypothèses défavorables sont néanmoins sur la table : la réduction de la capacité d’accueil et le retour à l’enseignement à distance en cas de circulation active, mais localisée du virus, et la fermeture totale des établissements en cas de circulation très active sur une zone géographique déterminée.
Illustration bannière : Le gouvernement a décidé de n’autoriser en classe que le port de masques dits de catégorie 1 © Egrigorovich
A lire absolument
hé voilà que ça continue avec les masques.
Après nous avoir dit qu’ils étaient inutiles, voire même dangereux, après avoir laissé travailler les soignants : médecins, infirmières aide soignants parmi lesquels certains sont morts du covid, maintenant on nous cherche des histoires avec les masques faits maison.
Certes la qualité filtrante n’est pas assurée, si on ne fait pas attention au tissus qu’on emploie.
J’en ai fait une centaine pour la famille notamment en testant les tissus et en mettant 3 épaisseurs, et ceci de façon à ce que l’air ne passe pas trop facilement, mais que ce soit respirable. J’ai mis un élastique réglable pour qu’ils ne baillent pas.
Si on regarde les masques chirurgicaux portés par les gens notamment à la télé et même les hommes politiques, on voit qu’il y a un bon passage d’air de chaque côté du nez et aussi sur les côtés surtout lorsque les gens croisent l’eslastique. Ce ne sont pas des masques mais des « boucliers », ça filtre rien du tout puisque l’air passe librement sur les bords qui sont très très loin de jointer. Et encore souvent ils sont sur le bout du nez, et tombent dessous.
Alors, déjà qu’on fassen en sortes que les masques sont bien portés, car lorsque l’air passe librement, il n’y a aucune filtration.
Je pense qu’il y a beaucoup de stock de masques qui se vendent moins, et il faut faire marcher le commerce pour apporter des sous au gouvernement qui dépense à tout va et sans compter, alors on veut nous contraindre à acheter pour ramasser des impôts….
Si les soignants au début avaient eu les plus nuls des masques, il y a fort à parier qu’ils seraient encore vivants… mais ils n’avaient rien, et pas l’idée de se coller un kleenex au 4 coins sur le visage pour avoir un peu de protection.
On voit des masques chirurgicaux joncher le sol partout, et on en trouve même dans la mer. Et ça me révolte, alors, moi, je continuerais à porter mes masques quoi qu’il arrive. Je les lave chaque fois que je rentre à la maison même s’ils n’ont été utilisés que demi heure.
On a dit il y a quelques mois que les masques chirurgicaux pouvaient être lavés au moins 10 fois, au début on nous avait dit qu’il ne fallait pas les laver car ils perdaient leur qualités filtrantes, que nenni. J’en avais quelques un et dès le début j’avais essayé de les laver et j’avais remarqué qu’ils étaient identiques à des neufs;
On continue à nous prendre pour des billes.
Et si on se fait vacciner, il ne faudra pas dire « youpi je peux balancer les masques et le gel », car logiquement, même si on est protégé par le vaccin, logiquement on peut tout à fait transporter le virus. Et on n’est probablement pas protégé de tous les mutants.
Les masques chirurgicaux, certains les utilisaient un mois d’affilée sans les laver, on imagine la cochonnerie…