D’où vient l’extrait de pépins de pamplemousse ?
C’est dans les années 1960 qu’un scientifique serbe, du nom de Jacob Harich, découvre les qualités protectrices de l’extrait du pépin de pamplemousse. Passionné par le jardinage, il avait constaté que dans son compost, les pépins de pamplemousse n’étaient pas attaqués par les bactéries. Suite à cela, le pépin de pamplemousse fut utilisé dans des produits cosmétiques en raison de son activité antimicrobienne présumée.
C’est en 1980, après avoir mené différents tests que le Département de l’agriculture nord-américain confirme l’efficacité de l’EPP, surtout dans l’inhibition des souches virales chez les bovins et les porcs avec la fièvre aphteuse, la peste porcine africaine…
Une efficacité controversée
Cependant, certaines études scientifiques concernant l’extrait de pépins de pamplemousse contredisent les propriétés antimicrobiennes supposées. Des soupçons concernant la vraie nature des composés actifs des extraits sont apparus lorsque des additifs synthétiques ont été découverts dans des produits du commerce. Les extraits suspectés contenaient des conservateurs synthétiques, tels que le chlorure de benzethonium et des parabens.
Des tests en laboratoire ont été effectués et n’ont pu mettre en évidence les effets antimicrobiens que lorsque ces conservateurs étaient présents. Ce qui a permis de conclure que les propriétés antimicrobiennes sont simplement dues aux conservateurs synthétiques et qu’il n’y a donc pas de composé naturel avec une activité antimicrobienne dans l’extrait de pépins de pamplemousse.
Des contradictions tout de suite balayées
De nombreuses preuves ont permis de renverser ces controverses. En effet, les propriétés de l’EPP ont largement été mises à profit en agriculture biologique, mais aussi en jardinage, l’extrait de pépins de pamplemousse est souvent utilisé contre les moisissures, le mildiou, les limaces et les pucerons. Il est aussi utilisé dans les élevages, il sert à soigner les animaux souffrant d’infections à champignons, on s’en sert également pour nettoyer le pis des vaches par exemple.
Secret de fabrication
L’EPP est principalement produit à partir des pépins de Citrus paradisi. Les pépins sont séchés et réduits en poudre, celle-ci est ensuite dissoute dans de l’eau pure et distillée. Vient ensuite, une autre opération de séchage qui permet d’obtenir une poudre concentrée qui est mélangée à un solvant chimique, de la glycérine végétale et à de l’eau puis est chauffé sous haute pression. Il est ensuite refroidi, puis filtré et traité aux UV.
Les principaux fabricants de l’EPP sont américains, chinois ou allemands. Méfiez-vous, le doute est parfois permis sur la qualité de l’extrait originel, il est facile de tomber sur un extrait fabriqué à partir de n’importe quel pamplemousse. L’étiquette est importante, il faut bien la lire. Il faut privilégier la forme liquide qui serait plus pure et plus efficace que les comprimés. Le composé obtenu doit être le plus naturel possible, les importations bon marché sont donc à bannir !
Il est vrai dans la manière dont l’article structuré, on a du mal à en connaître la finalité, on reste en supspend. J’utilise personnellement l’extrait de pamplemousse, et dans de nombreux cas m’a permis de me soigner naturellement : angine, aphte, etc. j’ai aussi pu le constater sur d’autres personnes. Je ne savais pas que celui-ci était utilisé dans l’agriculture ou encore l’élevage, mais force est de constater que son utilisation de plus en plus répandue. Il est par ailleurs utilisée dans des hôpitaux comme agent désinfectant, il est également utilisé aux États-Unis pour traiter l’eau des piscines en remplacement du chlore. Sans pour autant glorifier l’extrait de pépin de pamplemousse, je pense que si es solutions naturelles peuvent remplacer des produits chimiques alors c’est une bonne chose. Alexandre – http://www.citrobiotic-shop.com
Non! Tout simplement non! A part prendre les scientifiques pour des buses (ce que vous faites tous), et croire que tout professeur chercheur est achalandé à un lobby dans le monde (ce qui est évidement faux !)
La méthode scientifique, qui permet d’avancer, ne souffre d’aucune contestation ! Elle est pourtant simple, et reste ouverte d’esprit (beaucoup de découverte ont été faite en analysant les « remède de grand mère »…on pourra citer l’écorce de Saule qui a permis de découvrir l’aspirine).
On entend parler d’une propriété? On constate, on test, on essaye de reproduire ! C’est bien ce caractère reproductible, dans lequel on a éliminé tout « biais », qui permet de certifier un effet ! Et encore, même les meilleures étude contiennent de petit biais, on reste toujours sur un « faisceau de preuve »! Mais c’est bien ce doute permanant, dans un sens, ou dans l’autre, qui permet d’avancer !
Donc non, aucune étude ne saurait être remplacé par « son petit cas personnel », et son « utilisation personnel » !! Les études, actuellement, n’ont montré aucun effet, même contre les champignons ! Et ça n’est pas un « gros coup de bol : j’en ai utilisé, et j’ai rien eu » qui remplacera ces études !
Moi je ne met rien sur mes tomates, je n’ai jamais eu de maladie…pour autant, je ne prétend pas que « rien » est le remède à « tout »….
Bonjour,
Je ne comprends pas votre article. Vous opposez à des études scientifiques supposées sérieuses le fait que l’on s’en sert souvent contre telle ou telle chose. Je suis évidemment pour les produits naturels, mais votre démonstration ne me semble pas claire.
Cordialement.