Les propriétaires d’animaux semblent d’accord avec ce constat
Lorsque l’on pose la question aux propriétaires européens de chiens et de chats et autres animaux de compagnie, ils sont 68 % à estimer que le fait d’avoir un petit compagnon à quatre pattes leur « permet de se sentir mieux dans la vie »(3).
7 réflexes écologiques à adopter avec son chien
Également, lorsque l’on interroge des individus sur les situations de la vie quotidienne qui les rendent heureux, ce sont les situations relationnelles qui arrivent en tête comme les réunions avec la famille ou la visite d’amis. Viennent ensuite les situations liées au repos ou à la détente. Et juste derrière ces facteurs que sont les situations relationnelles et le repos arrive le fait de s’occuper de son animal domestique.
Les animaux de compagnie sont donc perçus par leur propriétaire comme une source de bien-être au quotidien. Les animaux feraient de leur maître des personnes plus heureuses et plus épanouies que la moyenne !
Les animaux domestiques en France
En France, on estime qu’il y a :
- 33 millions de poissons
- 13,5 millions de chats
- 7,3 millions de chiens
- 5 millions de Nouveaux Animaux de Compagnie (NAC)
Lire page suivante : le bien-être de l’animal compte aussi !
- The Truth About Cats and Dogs : Pets Are Good for Mental Health of ‘Everyday People’ http://www.apa.org/news/press/releases/2011/07/cats-dogs.aspx
- Dog ownership and the risk of cardiovascular disease and death – a nationwide cohort study https://www.nature.com/articles/s41598-017-16118-6
- Les animaux de compagnie au coeur du bien-être des individus https://www.ipsos.com/fr-fr/les-animaux-de-compagnie-au-coeur-du-bien-etre-des-individus
C’est un site très intéressant et riche en idées
Ce que vous affirmez ici n’est pas toujours vrai… ou ça ne l’est que pour les gens en bonne santé !
Je ne voulais plus de chien, celui qui partage ma vie depuis trois ans est un cadeau empoisonné. J’ai déjà tant de mal à m’occuper de moi, si peu d’énergie pour faire le minimum… je ne suis pas capable de bien m’en occuper, de lui accorder l’attention dont il a besoin, de le sortir autant et aussi longtemps qu’il le faudrait. Je culpabilise énormément et mon estime de moi en prend une sacrée claque.
Ce chien a beau être un bon chien, il me prend tout mon peu d’énergie, en sorties et en sollicitations incessantes, il me déconcentre chaque fois que j’arrive à me concentrer un peu, me réveille toutes les nuits quand j’ai enfin réussi à trouver le sommeil, me cause bien trop souvent un stress qui a une grande influence négative sur ma santé… C’est un cauchemar, un véritable cauchemar…
Le seul point positif de ma maladie c’était de pouvoir enfin vivre à mon rythme, de ne plus avoir d’obligations, de contraintes quotidiennes et de responsabilité qu’envers moi-même, de ne plus avoir à m’occuper que de moi, pouvoir enfin me reposer tout mon saoul, goûter au calme et à la solitude dont j’ai tant besoin pour me sentir un minimum bien, après tout une vie à courir…
Fini tout ça, depuis ce chien…
C’est peu dire que j’en veux terriblement à la personne qui m’a piégée pour me l’imposer (qui savait pourtant pertinemment que je ne voulais plus de chien, je le lui avais dit on ne peut plus clairement, comme à tous mes proches !), persuadée que ça me ferait du bien quoi que j’en pense, que je changerais d’avis une fois que je l’aurais, puisque tant d’articles du genre de celui-là affirment sans nuance que c’est bon pour la santé et pour le moral…
Ma santé comme mon moral en ont gravement pâti, et en pâtissent un peu plus de jour en jour. Plus ça va plus je m’affaiblis, moins je m’en occupe bien, plus je stresse et culpabilise, plus ça nuit à mon moral et à ma santé.
Je suis au bout du rouleau…
Alors, par pitié, nuancez vos articles ! Et, vous qui me lisez, n’offrez JAMAIS un animal qui ne soit pas désiré.