Le bien-être de l’animal, ça compte aussi !
Toutes les études et analyses, qu’elles soient menées outre-Atlantique ou sur notre territoire, convergent vers un même constat : nos petits animaux de compagnie font partie intégrante de notre bonheur quotidien.
Quid du bien-être de notre animal ?
Le bien-être des animaux apparaît pour la grande majorité des individus comme aussi important que le bien-être des hommes. Les défenseurs des animaux ne contrediront pas cette affirmation !
Cependant, déterminer le statut qui convient à son animal n’est pas chose facile.
Comme l’affirme Pierre Desnoyers sur le site agrobiosciences.org : « À trop les aimer , bon nombre de maîtres dérapent vers l’anthropomorphisme et occasionnent chez l’animal des troubles comportementaux, voire des perturbations physiologiques. Inversement, à trop les banaliser, des propriétaires peu réfléchis gadgétisent l’animal : ravalé au rang de simple objet, il est facilement abandonné ».
Il est donc important de trouver le juste milieu. Un animal de compagnie n’est pas un objet de mode ou un gadget pour occuper les enfants. C’est un être vivant, nécessitant soins et attention.
Les solutions : éducation du futur maître, civisme des propriétaires et moralisation de la commercialisation des animaux.
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Article mis à jour
- The Truth About Cats and Dogs : Pets Are Good for Mental Health of ‘Everyday People’ http://www.apa.org/news/press/releases/2011/07/cats-dogs.aspx
- Dog ownership and the risk of cardiovascular disease and death – a nationwide cohort study https://www.nature.com/articles/s41598-017-16118-6
- Les animaux de compagnie au coeur du bien-être des individus https://www.ipsos.com/fr-fr/les-animaux-de-compagnie-au-coeur-du-bien-etre-des-individus
C’est un site très intéressant et riche en idées
Ce que vous affirmez ici n’est pas toujours vrai… ou ça ne l’est que pour les gens en bonne santé !
Je ne voulais plus de chien, celui qui partage ma vie depuis trois ans est un cadeau empoisonné. J’ai déjà tant de mal à m’occuper de moi, si peu d’énergie pour faire le minimum… je ne suis pas capable de bien m’en occuper, de lui accorder l’attention dont il a besoin, de le sortir autant et aussi longtemps qu’il le faudrait. Je culpabilise énormément et mon estime de moi en prend une sacrée claque.
Ce chien a beau être un bon chien, il me prend tout mon peu d’énergie, en sorties et en sollicitations incessantes, il me déconcentre chaque fois que j’arrive à me concentrer un peu, me réveille toutes les nuits quand j’ai enfin réussi à trouver le sommeil, me cause bien trop souvent un stress qui a une grande influence négative sur ma santé… C’est un cauchemar, un véritable cauchemar…
Le seul point positif de ma maladie c’était de pouvoir enfin vivre à mon rythme, de ne plus avoir d’obligations, de contraintes quotidiennes et de responsabilité qu’envers moi-même, de ne plus avoir à m’occuper que de moi, pouvoir enfin me reposer tout mon saoul, goûter au calme et à la solitude dont j’ai tant besoin pour me sentir un minimum bien, après tout une vie à courir…
Fini tout ça, depuis ce chien…
C’est peu dire que j’en veux terriblement à la personne qui m’a piégée pour me l’imposer (qui savait pourtant pertinemment que je ne voulais plus de chien, je le lui avais dit on ne peut plus clairement, comme à tous mes proches !), persuadée que ça me ferait du bien quoi que j’en pense, que je changerais d’avis une fois que je l’aurais, puisque tant d’articles du genre de celui-là affirment sans nuance que c’est bon pour la santé et pour le moral…
Ma santé comme mon moral en ont gravement pâti, et en pâtissent un peu plus de jour en jour. Plus ça va plus je m’affaiblis, moins je m’en occupe bien, plus je stresse et culpabilise, plus ça nuit à mon moral et à ma santé.
Je suis au bout du rouleau…
Alors, par pitié, nuancez vos articles ! Et, vous qui me lisez, n’offrez JAMAIS un animal qui ne soit pas désiré.