Les plantes contre le mal des transports
Comme vu précédemment, l’huile essentielle de gingembre est très efficace contre les nausées. Il est aussi possible de consommer le gingembre tel quel pour prévenir les symptômes du mal des transports : râpez un peu de gingembre dans votre salade avant de prendre la route ou emportez avec vous quelques morceaux de gingembre confit.
Vous pouvez également préparer une tisane, qui aura en plus l’avantage de vous hydrater, en laissant infuser un morceau de racine de gingembre dans de l’eau chaude pendant 15 minutes. Enfin, vous pouvez également vous procurer du gingembre en poudre et le mélanger dans un yaourt.
L’eau de mélisse, une recette de grand-mère composée de 14 plantes médicinales – mélisse, angélique, muguet, cresson, citron, marjolaine, coucou, sauge, romarin, lavande, armoise, sarriette, camomille et thym – et 9 épices : coriandre, cannelle, girofle, muscade, anis vert, fenouil, racine de gentiane, racine d’angélique et bois de santal.
Disponible en pharmacie en flacon ou en spray, l’eau de mélisse fait passer l’envie de vomir.
Article republié
Illustration bannière : Malade en voiture ? Comment lutter ? – © Monika Wisniewska
- Enquête Post Test TOLUNA Juillet 2014
- Treisman M. Motion sickness : An evolutionary hypothesis. Science. 1977;197:493-495. Money KE, Cheung BS. Another function of the inner ear : Facilitation of the emetic response to poisons. AviatSpace Environ Med. 1983;54:208-211
- Treisman M. Motion sickness : An evolutionary hypothesis. Science. 1977;197:493-495. Money KE, Cheung BS. Another function of the inner ear : Facilitation of the emetic response to poisons. AviatSpace Environ Med. 1983;54:208-211
Bonjour
C’est vrai que le vélo n’induit pas de mal des transports…d’accord avec Ves
Il existe des bracelets qui installés aux poignets comportent une petite boule qui appuie et masse des points d’acupuncture. Prévus pour le mal de mer, ils marchent aussi en bus ou avion ou train, on les trouve pour 5 à 15 € en magasins d’accessoires nautiques dans tous les ports, et en ligne en tapant bracelet anti mal de mer sur un moteur de recherche comme DuckDuckGo (pour changer de Gogol)
Inutile de dire qu’aucune recette ne marche sur tout le monde, ça se saurait et on ne chercherait plus…
Une vieille recette de pêcheurs très écologique en préventif du mal de mer consiste à boire de temps en temps un petit verre d’eau de mer dès le début de la sortie, et mâcher un peu de pain sec. C’est physiologique car l’ion chlore du sel serait un anti nauséeux. On se fait très bien au goût, je répète en préventif, parceque si on est un peu barbouillé c’est le coup de grâce :>)) Mais en général après avoir donné un bon repas aux poissons ça va bien mieux, il faut alors vite s’allonger dans la cabine, bien couvert pour ne pas avoir froid, et après 2 ou 3h de sommeil on est en pleine forme.
Je confirme l’astuce des bracelets appuyant sur les points d’acupunture, je suis très malade en bateau et ça fonctionne bien sur moi, bien mieux que les médicaments qui barbouillent plus qu’autre chose (et quand on peut faire naturel…). Après, effectivement, chaque organisme a son fonctionnement. Sinon, une astuce « évidente » consiste à partir reposé, serein, le ventre plein : cela réduit déjà considérablement les problèmes.
Sinon, il y a aussi un petit truc de grand-mère qui marche assez bien pour moi. On se colle tout simplement un sparadrap sur le nombril avant de prendre la route !
Contre le mal des transports pourquoi ne pas marcher, ou courir, ou pédaler (le mal des transports est assez rare sur un vélo…) ? Bref en utilisant un mode de déplacement à propulsion musculaire on limite les risques de souffrir du « mal des transports » (un de ces néo-maux inventés pour nous faire consommer toujours plus) et surtout on ne produit pas de nuisances… (Il est vrai cependant que la propulsion musculaire est aussi très nuisible, pour la graisse, la cellulite, le tissu adipeux, etc.)